la lumière qu’elle soit nue
on entre ici comme dans un cerceau
le mouvement se doit perpétuel
les mains ouvertes
au-dessus des hanches
le ciel se doit bleu
moelleux au toucher du soleil
allonger les bras
jusqu’au cœur
je ne souffre dans ce corps
qu’une seule vérité
Date de création: Le 10 juin 2009
Publié dans la revue Brèves (Laval, Qc), no 80, 2010